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L’employeur peut envisager de licencier pour motif économique un ou plusieurs salariés, dans une même période de 30 jours consécutifs. Selon la situation, l’employeur doit alors convoquer à un entretien préalable chaque salarié dont le licenciement est envisagé. La procédure de licenciement varie en fonction du nombre de salariés licenciés et du nombre de salariés dans l’entreprise.
L’employeur est obligé de convoquer à un entretien préalable le salarié dont le licenciement pour motif économique est envisagé.
La consultation du comité social et économique (CSE) n’est pas obligatoire pour un licenciement individuel.
Si le licenciement concerne un représentant du personnel, le CSE doit être consulté.
La convocation à l’entretien préalable est effectuée par lettre recommandée ou par lettre remise en main propre contre décharge.
La lettre de convocation doit indiquer les éléments suivants :
Objet de la convocation, la date, l’heure et le lieu de l’entretien
Possibilité pour le salarié de bénéficier durant l’entretien de l’assistance soit d’une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise, soit d’un conseiller du salarié extérieur à l’entreprise (s’il n’y a pas de représentants du personnel dans l’entreprise)
Coordonnées de la mairie et de l’inspection du travail où l’on peut se procurer la liste départementale des conseillers du salarié
Un certain délai doit être respecté entre l’envoi de la lettre de convocation et la date de l’entretien : celle-ci doit être fixée au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la lettre de convocation.
Au cours de l’entretien, l’employeur est tenu d’indiquer au salarié le ou les motifs de la décision envisagée et de recueillir ses explications.
Le salarié doit être informé sur les conditions permettant de bénéficier :
ou, si l’effectif de l’entreprise est d’au moins 1 000 salariés, du congé de reclassement.
L’employeur est obligé de convoquer à un entretien préalable chaque salarié dont le licenciement pour motif économique est envisagé.
La consultation du comité social et économique (CSE) n’est pas obligatoire.
Si le licenciement concerne au moins un représentant du personnel, le CSE doit être consulté.
L’employeur réunit et consulte le CSE.
L’employeur indique au CSE les éléments suivants :
Raisons économiques, financières ou techniques du projet de licenciement
Nombre de licenciements envisagé
Catégories professionnelles concernées et critères proposés pour l’ordre des licenciements
Nombre de salariés, permanents ou non, employés dans l’établissement
Calendrier prévisionnel des licenciements
Mesures de nature économique envisagées
Conséquences des licenciements projetés en matière de santé, de sécurité ou de conditions de travail
Le CSE rend son avis sur le projet de licenciement dans un délai d’un mois.
L’employeur est obligé ensuite de convoquer à un entretien préalable chaque salarié dont le licenciement pour motif économique est envisagé.
L’employeur est obligé de convoquer à un entretien préalable chaque salarié dont le licenciement pour motif économique est envisagé.
En l’absence d’institutions représentatives du personnel dans l’entreprise, le salarié peut se faire assister :
soit par une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise,
soit par un conseiller du salarié choisi sur une liste dressée par la Dreets .
La convocation à l’entretien préalable est effectuée par lettre recommandée ou par lettre remise en main propre contre décharge.
La lettre de convocation doit indiquer les éléments suivants :
Objet de la convocation, la date, l’heure et le lieu de l’entretien
Possibilité pour le salarié de bénéficier durant l’entretien de l’assistance soit d’une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise, soit d’un conseiller du salarié extérieur à l’entreprise (s’il n’y a pas de représentants du personnel dans l’entreprise)
Coordonnées de la mairie et de l’inspection du travail où l’on peut se procurer la liste départementale des conseillers du salarié
Un certain délai doit être respecté entre l’envoi de la lettre de convocation et la date de l’entretien : celle-ci doit être fixée au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la lettre de convocation.
Le salarié doit être informé sur les conditions permettant de bénéficier d’un contrat de sécurisation professionnelle (CSP).
Le salarié doit être informé sur les conditions permettant de bénéficier du congé de reclassement.
Lorsque l’employeur procède au licenciement pour motif économique de 10 salariés ou plus et qu’il existe un CSE dans l’entreprise, la procédure d’entretien préalable au licenciement ne s’applique pas.
L’employeur n’est pas tenu de convoquer chaque salarié à un entretien.
Conditions
En l’absence d’un CSE dans l’entreprise, l’employeur est obligé de convoquer à un entretien préalable chaque salarié dont le licenciement pour motif économique est envisagé.
En l’absence d’institutions représentatives du personnel dans l’entreprise, le salarié peut se faire assister :
soit par une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise,
soit par un conseiller du salarié choisi sur une liste dressée par la Dreets .
Convocation du salarié
La convocation à l’entretien préalable est effectuée par lettre recommandée ou par lettre remise en main propre contre décharge.
La lettre de convocation doit indiquer les éléments suivants :
Objet de la convocation, la date, l’heure et le lieu de l’entretien
Possibilité pour le salarié de bénéficier durant l’entretien de l’assistance soit d’une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise, soit d’un conseiller du salarié extérieur à l’entreprise (s’il n’y a pas de représentants du personnel dans l’entreprise)
Coordonnées de la mairie et de l’inspection du travail où l’on peut se procurer la liste départementale des conseillers du salarié
Date de l’entretien
Un certain délai doit être respecté entre l’envoi de la lettre de convocation et la date de l’entretien : celle-ci doit être fixée au moins 5 jours ouvrables après la présentation de la lettre de convocation.
Déroulement de l’entretien
Au cours de l’entretien, l’employeur est tenu d’indiquer au salarié le ou les motifs de la décision envisagée et de recueillir ses explications.
Le salarié doit être informé sur les conditions permettant de bénéficier :
ou, si l’effectif de l’entreprise est d’au moins 1 000 salariés, du congé de reclassement.